Aperçu
- Des nouvelles du bureau
- Rendement du marché et du portefeuille
- Le point sur le portefeuille
- Informations touchant les sociétés
- Perspectives du marché
Mise à jour du site Web
Nous sommes ravis de vous annoncer que notre nouveau site Web est en ligne! Vous pouvez maintenant trouver des infolettres mensuelles, des webinaires, des ressources de lecture utiles et des fiches d’information trimestrielles sur la stratégie de placement au même endroit. Nous continuerons de mettre à jour le site pour vous tenir au courant de tout ce qui se passe chez Groupe Investissements Hale.
https://advisor.wellington-altus.ca/haleinvestmentgroup/
Rendement du marché et du portefeuille (rendement total en dollars canadiens, sauf indication contraire)
Rendement depuis le début de l’année, au 1er juin 2023 :
- Indice TSX 60 ($ CA) : 2,1 %
- Indice S&P 500 ($ US) : 9,7 %
- NASDAQ ($ US) : 24,1 %
- DJIA ($ US) : 0,25 %
Le Portefeuille d’actions conservateur a affiché un rendement de 16,2 % depuis le début de l’année, de 9,2 % sur trois ans, de 9,6 % sur cinq ans et de 11,9 % depuis sa création (octobre 2015).
Le Portefeuille de revenu diversifié, notre portefeuille équilibré utilisé dans bon nombre des comptes enregistrés de nos clients, a généré un rendement de 5,3 % depuis le début de l’année et un rendement de 9,4 % sur trois ans, de 8,7 % sur cinq ans et de 8,9 % depuis sa création (juillet 2017).
Le Portefeuille ciblé de rendement total, conçu pour les CELI, a généré un rendement de 27,1 % depuis le début de l’année, de 13,3 % sur trois ans et de 18,2 % depuis sa création (avril 2020).
Vos rendements varieront en fonction du montant des titres à revenu fixe détenus, des rentrées et sorties de fonds et des frais de gestion.
Le point sur le portefeuille
Amazon
Dans le Portefeuille d’actions conservateur, nous avons réduit de 1 % notre position dans Visa Inc. et acheté des titres d’Amazon.com, Inc., tandis que dans le Portefeuille ciblé de rendement total, nous avons réduit de 1 % notre position dans Berkshire Hathaway Inc. (cat. B) et avons également acheté des titres d’Amazon.
Nous sommes propriétaires de titres Amazon dans différents portefeuilles depuis plus de cinq ans. Avant cela, nous appréciions l’entreprise, mais il nous a fallu quelques années pour déterminer comment l’évaluer parce que le cours de ses actions se négociait toujours à un multiple cours-bénéfice élevé. Nous avons commencé à comprendre pourquoi lorsque nous avons fait une analyse approfondie de l’état des résultats et des flux de trésorerie d’Amazon. Comme l’entreprise connaissait une croissance très rapide, elle investissait tout son flux de trésorerie disponible dans l’entreprise pour croître, de sorte que même si l’entreprise affichait très peu de profits et que les actions s’échangeaient parfois entre 200 et 300 fois le bénéfice, selon le ratio cours-trésorerie, il était beaucoup plus raisonnable d’effectuer des opérations à environ 20 à 30 fois son flux de trésorerie au cours de la dernière décennie, tout en affichant une croissance de 25 à 30 %.
Après les ventes massives dans le secteur des technologies l’an dernier, Amazon a diminué d’environ 50 % et s’échangeait à 10 fois son flux de trésorerie en décembre, une valeur que nous n’avions jamais vue auparavant. Cela n’a pas duré longtemps, et depuis, le titre a augmenté de près de 50 % et il se négocie maintenant à 16 fois son flux de trésorerie de 2023. Nous croyons que la valeur d’Amazon est plus proche de 25 fois son flux de trésorerie, ce qui est à notre avis encore sous-évalué. Franchement, nous serions heureux si le cours demeurait à 16 fois son flux de trésorerie et si la croissance de l’entreprise était de 25 %. Toutefois, nous pensons que ce multiple va augmenter au cours des prochains mois.
Nous connaissons tous Amazon comme l’endroit pour faire nos achats en ligne. Mais lorsqu’il s’agit de gagner de l’argent, les magasins en ligne ne sont que la pointe de l’iceberg et ne représentent presque aucun des profits. Le véritable argent, c’est ce que vous ne voyez pas. Les choses qui ne portent pas le nom d’Amazon.
Amazon fait de l’argent de plusieurs façons. La première consiste à louer des ordinateurs et des logiciels à d’autres entreprises. C’est ce que les gens appellent le « nuage » et qui existe sous le nom d’Amazon Web Services. Amazon exploite des ordinateurs et des logiciels pour un grand nombre d’institutions, de gouvernements et d’entreprises partout dans le monde. Parmi ses clients on retrouve le gouvernement américain, Netflix et Apple.
Amazon s’est lancée dans ce secteur il y a plus de deux décennies. Elle construisait des ordinateurs pour l’exploitation de sa propre entreprise et avait besoin de beaucoup de ressources informatiques pour les périodes de pointe comme Noël. Mais le reste de l’année, elle n’en avait pas besoin. Elle a donc commencé à louer le nuage à d’autres entreprises.
La deuxième façon dont Amazon se fait de l’argent est en gérant les magasins d’autres entreprises. Elle appelle cela des « services de tiers revendeurs ». Bien que les produits et les ventes soient gérés par d’autres entreprises, Amazon entrepose, expédie et fournit toutes sortes de services à ceux qui vendent des produits en ligne. Dans bien des cas, vous n’aurez aucune idée que c’est Amazon qui a entreposé et expédié votre achat.
Les deux divisions ont connu une croissance spectaculaire au cours des trois dernières années et représentent une des plus fortes croissances au sein de notre économie. Comme ces services ont connu une croissance très rapide, Amazon a dépensé beaucoup d’argent pour s’assurer de pouvoir continuer à faire plus d’affaires et à répondre à la demande. Le chiffre associé à ce coût est ce qu’on appelle les dépenses en capital. Elles représentent l’argent qu’une entreprise dépense pour les biens matériels dont elle a besoin pour exploiter son entreprise, ses outils, ses immeubles, etc.
Pour Amazon, l’argent consacré à l’équipement et à la propriété est passé d’environ 12 milliards de dollars par année en 2019 à environ 60 milliards de dollars par année aujourd’hui. C’est aussi la raison pour laquelle les actions semblent toujours moins rentables qu’elles ne pourraient l’être. En effet, Amazon dépense beaucoup d’argent pour la croissance future, ce qui fait que ses bénéfices semblent bien inférieurs à ce qu’ils pourraient être.
Cela équivaut à un levier d’exploitation, ce qui signifie que les bénéfices peuvent croître beaucoup plus rapidement que les ventes au cours des cinq prochaines années.
Pourquoi pensons-nous qu’Amazon génèrera un rendement important au cours des trois à cinq prochaines années? Nous croyons qu’Amazon est un exploitant extrêmement efficace et continuera de gérer l’infrastructure numérique d’une partie de notre économie. Cette infrastructure est en croissance, et non en décroissance. Quelle sera l’incidence de l’IA sur ses activités? Eh bien, le nombre d’ordinateurs et de logiciels dont les entreprises auront besoin à l’avenir sera beaucoup plus élevé que la croissance que nous avons observée au cours des cinq dernières années.
Bien sûr, Amazon revendiquera aussi son assistante virtuelle, Alexa, et la façon dont une intelligence artificielle améliorée la rendra plus pertinente que jamais. Toutefois, la plupart des gens ne comprennent pas que les profits réels se trouvent dans ce qu’Amazon fait déjà pour d’autres institutions et comment cela positionne la société pour croître énormément à mesure que le paysage numérique prend de l’expansion.
Obligations
Nous avons apporté des changements à la façon dont nous gérons les titres à revenu fixe. Lorsque les taux d’intérêt étaient bas, nous avons eu de la difficulté à trouver des occasions sur le marché obligataire canadien. Nous nous sommes donc fiés à des gestionnaires extérieurs, principalement Pimco et Fidelity, pour gérer nos titres à revenu fixe. Nous pouvons trouver de meilleures occasions maintenant que les taux sont plus élevés, surtout en ce qui concerne les obligations d’État.
Notre nouvelle répartition obligataire est de 60 % en obligations gouvernementales, de 20 % en obligations échelonnées de sociétés de première qualité et de 20 % en obligations gérées par Pimco et Fidelity.
Nous avons commencé par investir 35 % dans le FNB de trésorerie intermédiaire en dollars US. Ce FNB investit dans des obligations du Trésor américain dont l’échéance varie de cinq à dix ans. Il s’agit d’un produit très liquide et sûr dont le coût interne total n’est que de 0,04 %. Les obligations du Trésor serviront de protection contre une récession ou une période économique difficile.
Ensuite, nous avons investi 25 % dans des obligations du gouvernement du Canada échelonnées sur un à cinq ans. Elles offrent de la liquidité, de la sécurité et sont faibles en coûts.
Les deux FNB d’obligations d’État devraient bien se maintenir en période de turbulence.
Ensuite, nous avons investi 20 % dans des obligations canadiennes de sociétés de première qualité par l’entremise du FNB d’obligations Objectif à échéance RBC. Nous avons construit une échelle obligataire d’un à cinq ans, avec un FNB arrivant à échéance chaque année.
Ces FNB obligataires détiennent un panier d’obligations de sociétés canadiennes de première qualité qui arrivent toutes à échéance la même année.
À titre d’exemple, le FNB 2024 détient 46 obligations différentes, toutes étant de première qualité et arrivant à échéance en 2024. Nous recevons des paiements d’intérêts mensuels des obligations et, en septembre 2024, le FNB arrivera à échéance et remboursera le solde total.
Ce qui est intéressant au sujet de ces FNB à échéance, c’est qu’ils se négocient tous au-dessous de leur valeur nominale après les hausses spectaculaires des taux d’intérêt de l’année dernière. Par exemple, le FNB 2024 se négocie à environ 19,82 $, paie 2,73 % d’intérêt et arrive à échéance à 20,26 $, pour un rendement total de 5,51 % sur une obligation d’un an, avec un équivalent d’intérêt de 7,1 %.
Comme le gain en capital est beaucoup plus avantageux sur le plan fiscal, vous devriez acheter un CPG qui rapporte 7 % pour obtenir le même rendement net après impôt que ce FNB obligataire d’un an.
Tous les FNB obligataires se négociant actuellement à un prix réduit, il est très avantageux sur le plan fiscal que la moitié de notre rendement provienne de gains en capital.
Un autre avantage de cette stratégie est que nous avons séparé les obligations de société et les obligations d’État. Au début de la pandémie, il y avait une crise de liquidité, et il était difficile de vendre la plupart des actifs et d’en obtenir un prix équitable. Le seul actif qui conservait sa valeur était les obligations d’État. Cependant, parce que nous détenions notre valeur en fonds obligataires ainsi qu’en beaucoup d’autres types d’obligations, nous n’étions pas en mesure de les vendre.
Nous croyons également que le fait de détenir des obligations d’État maintenant aidera à réduire la volatilité du portefeuille global à l’avenir.
Informations touchant les sociétés
NVIDIA
NVIDIA Corporation a déclaré des bénéfices impressionnants et a surpris le marché au cours du dernier mois. L’action a bondi d’environ 25 % après avoir annoncé une hausse des bénéfices d’environ 40 % le mois dernier, soit environ 160 % pour l’année. C’est la société la plus performante de notre portefeuille en 2023 jusqu’à présent.
Nous pouvons affirmer en toute confiance que cette entreprise a été l’une des plus difficiles à détenir au cours des dernières années. Nous avons acheté notre position en 2021 à 125 $ l’action. Le cours de l’action est passé à 320 $, puis à 120 $ en octobre dernier, et il est maintenant revenu au-dessus de son sommet précédent, à 387 $. Bien que l’entreprise ait continué de fonctionner et de croître de façon fiable, le cours de l’action a été très variable.
Ce qui a motivé la récente augmentation du cours, c’est qu’au lieu de vendre moins de puces parce que les gens avaient déjà acheté un nouvel ordinateur avec une carte graphique pendant la pandémie, il s’avère que ce segment n’a pas eu beaucoup d’importance parce que le nombre de puces que NVIDIA vendait pour l’infonuagique, en particulier celles spécialisées dans l’intelligence artificielle (IA), a largement dépassé les attentes.
Par exemple, même s’il est prévu que NVIDIA vende pour 10 milliards de dollars de cartes graphiques l’an prochain, elle vendra pour environ 30 milliards de dollars en puces spécialisées dans l’IA et l’infonuagique. 80 % de ses activités se situent donc maintenant dans l’un des secteurs de notre économie qui connaît la croissance la plus rapide. Le succès a été énorme, et les gens ont sous-estimé grandement la demande. Maintenant, plutôt qu’une entreprise dont les ventes sont relativement stables, nous avons une entreprise qui augmente ses ventes de 25 % par année.
NVIDIA vend autant de puces qu’elle peut produire. Fait intéressant, l’entreprise a été touchée négativement en septembre dernier lorsque le gouvernement américain a interdit la vente de puces d’intelligence artificielle A100 et H100 à la Chine. Les ventes de NVIDIA ont été durement frappées, mais maintenant, toutes ces puces et bien d’autres ont trouvé preneur.
Nous avons pu constater cela dans de nombreuses grandes entreprises technologiques. Par exemple, nous nous sommes demandé pourquoi les dépenses en capital de Facebook étaient passées d’environ 18 milliards de dollars il y a deux ans à 33 milliards de dollars cette année. Cela nous semblait beaucoup d’argent, mais nous savons maintenant à quoi il a servi.
Beaucoup de gens parlent d’une bulle; certains qui ne connaissent pas l’entreprise croyaient que les fluctuations du cours de l’action de NVIDIA étaient insensées. Lorsque nous avons examiné les chiffres du point de vue des données fondamentales, nous avons pu voir d’où venait le cours actuel de l’action. Par exemple, l’entreprise était en fait plus coûteuse du point de vue de l’évaluation avant d’augmenter de 25 % lorsque les bénéfices ont été annoncés.
Est-ce un titre coûteux? Tout à fait. Est-ce qu’il se négocie à un cours fou par rapport à la moyenne historique? Ce n’est pas notre avis. Nous croyons que les estimations des bénéfices prévisionnels sont sérieusement sous-estimées et que la vente de puces commencera à s’accélérer une fois que tous les produits actuellement en développement seront lancés.
N’oubliez pas non plus que le marché des puces est généralement un indicateur avancé, ce qui signifie que lorsque les ventes de puces augmentent en flèche, elles devancent le pic commercial, car les puces doivent être commandées longtemps à l’avance.
Investir dans l’IA
Sommes-nous dans une bulle? Nous n’en sommes qu’aux premiers stades, mais il y a certainement du battage médiatique. Allons-nous finir par nous retrouver dans une bulle? Nous pensons que l’ampleur même des possibilités dans le secteur pourrait provoquer le genre de cupidité et d’hystérie qui alimentent habituellement les bulles. Nous n’en sommes pas encore là, car les applications commerciales sont encore en développement et ne sont pas largement utilisées.
Nous avons largement investi dans ce secteur : dans les micropuces par l’entremise de NVIDIA et de Advanced Micro Devices Inc., dans l’infonuagique par l’entremise de Microsoft Corp. et d’Amazon, dans les logiciels par l’entremise de Microsoft Corp. et d’Alphabet Inc. (cat. A) et dans le matériel informatique par l’entremise d’Apple Inc. et de Tesla Inc.
Nous devrions probablement distinguer les divers types d’IA parce qu’elles ont des fonctions différentes. Par exemple, l’IA dont la plupart des gens parlent aujourd’hui est le traitement du langage basé sur le chatbot d’IA. L’IA spatiale est un système qui peut réagir à son environnement physique plutôt qu’aux mots. La vision par ordinateur est essentiellement la capacité d’un ordinateur de voir, c’est-à-dire qu’il prend les informations d’une caméra et comprend ce qu’il voit à l’écran. Puis, il peut utiliser ces renseignements pour prendre des décisions.
Même si de vastes ressources sont dédiées à ces deux derniers types d’IA à l’heure actuelle par Google, Tesla, Uber et même le fabricant canadien de pièces automobiles Magna, ils ne font pas l’objet de discussions, mais ont manifestement de vastes applications dans le cadre de tâches réelles.
Au cours des prochaines années, l’IA sera de plus en plus présente au cœur des discussions dans le domaine des logiciels d’affaires et des produits de consommation.
Perspectives du marché
Résolution du plafond de la dette
Depuis 1960, le Congrès américain est intervenu 78 fois pour relever le plafond de la dette. Cette fois-ci, au lieu de relever le plafond limite, le Congrès l’a entièrement suspendu jusqu’en 2025. Cela lui permettra de payer ses factures jusqu’à cette date et de savoir que la prochaine bataille pour relever le plafond ne nuira pas à l’élection présidentielle.
Les marchés détestent l’incertitude, et jusqu’à ce qu’une résolution à ce sujet soit adoptée, les marchés étaient coincés dans un schéma de négociation. Maintenant que cela est derrière nous, ou plutôt remis à plus tard, les marchés sont sortis de leur schéma et ont poursuivi leur trajectoire ascendante. Maintenant, de nombreux analystes de Wall Street augmentent leur prix cible de fin d’année pour l’indice S&P 500 à 4 600-4 800. Cela signifie 10 % à 15 % de plus d’ici là.
Nous avons tendance à être d’accord, car la plupart des institutions sont sous-investies dans les marchés boursiers et nous avons encore des montants records de liquidités en réserve – 5,3 billions de dollars, pour être précis. Il s’agit d’une augmentation par rapport aux 3 billions de dollars d’avant la pandémie.
Pendant un marché baissier, comme nous l’avons vécu l’an dernier, le cours des actions baisse, quelles que soient les données fondamentales. Et 2023 est l’année où les facteurs techniques guident les marchés. Tout d’abord, les sociétés à mégacapitalisation ont bougé les premières; pensez à Apple, Microsoft, Google et NVIDIA. Et maintenant d’autres joueurs les rattrapent, comme Amazon, AMD et Tesla. La plupart de ces titres de qualité pourraient atteindre leurs sommets historiques avant la fin de l’année, car l’argent en réserve est mis dans les actions.
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Nous vous souhaitons un excellent début d’été.
Simon et Michael
Simon Hale, CIMMD, CSWP, FCSIMD
Conseiller principal en gestion de patrimoine,
Gestionnaire de portefeuille
Wellington-Altus Gestion Privée
Michael Hale, CIM MD
Conseiller principal en gestion de patrimoine,
Gestionnaire de portefeuille
Wellington-Altus Gestion Privée
Groupe Investissements Hale
1250, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 4200
Montreal, QC H3B 4W8
Tél. : 514 819-0045
Les rendements pour le Portefeuille d’actions conservateur, portefeuille de revenu diversifié, et le portefeuille ciblé de rendement total représentent uniquement les rendements des portefeuilles modèles et non les rendements de clients. Le rendement des comptes individuels peut différer sensiblement de l’historique de rendement représentatif en raison de plusieurs facteurs, notamment la taille du compte, la durée de la stratégie, le moment et le montant des dépôts et des retraits, le moment et le montant des dividendes et d’autres revenus, le moment et le prix de l’exécution des opérations, les taux de change, les frais et d’autres charges. Il ne s’agit pas d’un relevé officiel de Wellington-Altus Gestion Privée (« WAGP »). WAGP ne peut pas vérifier l’exactitude de ces chiffres sur le rendement. Veuillez consulter votre relevé officiel de WAGP pour connaître le chiffre exact de vos rendements.